Bien des foutaises raboutées avec de la grosse ficelle blanche. Des « contrats parapluies ». Des responsables mais pas coupables. Des règlements qui ne s'appliquent qu'aux autres. Une défense qui se contredit plusieurs fois. Des bureaucrates qui s'obstinent, contre toute évidence, à ne pas admettre qu'ils se sont fait prendre en flagrant délit de tournage de coins ronds. Et ils en remettent.

« - (...) connaissez-vous les besoins de base de la RRQ?
- Les besoins de base de la RRQ, c’est d’acquérir les
licences qu’on vous a indiquées là, là. » (Simon Nadeau p.45 l.5)

Nos dollars de taxes à l'oeuvre. L'important n'est pas d'avoir un outil de travail économique et performant. L'important est de payer la « cotisation » à Microsoft. Elle est là, la vraie « Microsoft Tax ».

Exercice laissé au lecteur, en ces temps de déclarations de revenus: prenez le rapport annuel de la RRQ, le coût du REMPLACEMENT (« mise à niveau », « mise à jour » c'est la même chose, on ghoste et on pourrait faire ça avec n'importe quel autre OS et application, pas besoin de rester chez le même fournisseur) du système en place par Windows Vista et Office 2007, le montant de votre cotisation RRQ de cette année, et calculez combien de dollars de « retraite » vont directement partir de votre poche payer celle de Bill Gates.